mardi 24 décembre 2013

FlexKom et la survie des centres villes


  • Pourquoi le consommateur ne fait t'il pas ce qu'il devrait faire ?
  • Pourquoi les gens aiment t'il tant faire leur achat sur internet ?
  • Pourquoi l'écart entre la consommation des ménages et le chiffre d'affaire du commerce de détail se précise toujours d'avantage ?
  • Pourquoi les consommateurs ignore t'ils une offre juste en bas de chez eux ?
  • Et que 64% des consommateurs ne veulent pas renoncer au plaisir de faire les boutiques ?
  • Alors que 75% que la qualité et pour eux plus importante que le prix ?


Comme d'habitude la bonne réponse à question n'est ni blanche ni noire, mais entre les deux. Internet n'est pas l'ennemi des petits commerçants ou des prestataires de services mais leur partenaire.

La réponse à leur avenir s'appel FlexKom.

FlexKom va révolutionner les habitudes quotidiennes en matières d'achat ainsi que la manière d'aborder les clients.

FlexKom sera un immense centre commerciale de portée internationale, dans lequel tous le monde trouvera son interêt financier, le petit commerçant et le consommateur final. Il ne s'agit pas ici d'une mystérieuse augmentation de la masse monétaire, mais d'un modèle intelligent, fonctionnel qui présente d'énormes avantages pour tous les participants.

On parle souvent de relation gagnant/gagnant. FlexKom en fait une parfaite illustration. Partant du postulat que seul le consommateur se déplace physiquement dans un magasin, devient un client les stratégies publicitaires du commerce du détail on nettement évolué ces dernières années. Une réduction offerte directement aux clients vaut mieux qu'une publicité non ciblée. Les économies effectuées en renonçant au mode de publicité inéfficace peuvent permettre de réduire le prix payé par le client selon le principe offrez au client une forte réduction et dite le lui bien fort.

FlexKom va encore plus loin, le consommateur final apprécie aussi autre chose: le groupe d'acheteurs

Les clients d'aujourd'hui recherchent les opportunités d'achat pour lesquelles ils savent que un grand nombre de personnes se constituent en groupe ils peuvent obtenir des réductions, même si les marges sont parfois faible dans le commerce de détail rien ne vaut la fidélisation des clients à terme, il est en effet économiquement plus intéressant de fidéliser

Révolution numérique FlexKom

La révolution numérique est en train de transformer le comportement des consommateurs et par voix de conséquences l'offre des petits commerçants et prestataires de services dans nos villes.

En Europe l'évolution des chiffres nous dis que pour cette fin d'année plus de la moitié des cadeaux de noël seront achetés sur internet autant d'argent qui ne rentre pas dans les caisses de commerces de détails.

En Allemagne par exemple, s'agissant des achats sur internet le chiffre d'affaire et de près de 30 milliards d'euros. Depuis dis an on assiste à un taux de croissance à deux chiffres, s'agissant des achats dans les commerces de détails le chiffre d'affaire global de détail est passé en dessous de son niveau de 1994.

La dure réalisé est que depuis 10 ans le chiffre d'affaire des petits commerçants n'augmentent plus, l'évolution des achats sur internet ne favorise donc pas le petit commerçant local.

L'évolution la plus importante dont nous sommes tous peu ou prou pro-acteur c'est que avant tout achat nous allons de plus en plus souvent faire une recherche sur internet au cours duquel les petits commerçants locaux n'apparaissent quasiment pas, même s'ils ont la meilleur offre en terme de prix et de services.

Aujourd'hui de fait ce qui n’apparaît pas sur internet n'existe plus. Le commerce de détail n'en est pourtant pas à ses premiers changements.

Dans les années 1960-1970 les petites épiceries de quartiers ont été bousculé par les grands magasins et supermarchés, puis on est passé aux hypermarchés et aux centres commerciaux, qui avec des marchandises en quantités astronomiques et des services destinés à satisfaire les besoins des consommateurs dans leurs temps libres, sont devenus encore plus intéressantes pour les clients.

Les quincailleries ont été remplacés par les hypermarchés du bricolage.

A propos l'adage semble se vérifier, les gros mangent les petits.

Le petit commerçant dont la diversité de l'offre se réduit est victime d'une évolution qui à terme fait mourir les centres villes et ce qui fait leur attrait.

Pour le commerce de détail se pose alors la question: Est maintenant les petits commerçants n'ont t'ils aucune chance face aux plus grands et face à internet ?